Stress qui rend malade, qui gâche la vie
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Le stress peut engendrer une grande variété de douleurs. Parmi les plus fréquentes, on retrouve les tensions musculaires et les douleurs articulaires. Il est aussi courant qu’il provoque des troubles digestifs, comme des crampes abdominales. En outre, des symptômes d’ordre neurologique peuvent apparaître, notamment des céphalées ou des migraines à répétition. Sous l’effet du stress chronique, le corps libère des médiateurs inflammatoires, pouvant sensibiliser le système nerveux et rendre les récepteurs de la douleur plus réactifs donnant la sensation d’être mal en point.
Comment le stress peut-il donner la sensation d’être malade ?
Le stress impacte le système digestif
L’abdomen, et en particulier l’estomac, est une zone très sensible aux effets de l’état nerveux et émotionnel. Lors de périodes tendues, de nombreux troubles digestifs peuvent se manifester donnant l’impression d’être malade. Parmi les plus fréquents :
- le syndrome de l’intestin irritable ;
- des diarrhées ;
- des remontées acides ou reflux gastro-œsophagiens (RGO) ;
- des douleurs abdominales variées.
- Il est également un facteur aggravant du côlon irritable, avec des symptômes typiques tels que :
- douleurs localisées dans le ventre ;
- gaz intestinaux et gonflements ;
- désordres du transit intestinal (constipation ou diarrhée).
À noter : dans le langage courant, il est parfois accusé de provoquer des ulcères. En réalité, ces lésions gastriques sont dues à d’autres facteurs, comme une infection ou un état de santé fortement affaibli (réanimation, choc).
Stress et effets sur le cœur
À long terme, il n’est pas sans conséquence sur la santé cardiaque et peut provoquer des maladies. Il contribue à l’élévation de la pression artérielle et accroît le risque de développer des troubles cardiovasculaires. Il peut aussi être un facteur déclencheur d’un infarctus du myocarde. Pour les personnes ayant une pathologie coronarienne, il est essentiel d’éviter les pics de stress liés à une activité physique excessive ou à des émotions fortes comme la colère.
Le stress qui rend malade en fragilisant l’immunité
Le cortisol maintenu à un niveau élevé en cas de stress a un effet immunosuppresseur et expose davantage aux risques de tomber malade (grippe, rhume, virus). Ce dernier freine la production et l’efficacité des globules blancs (lymphocytes), nécessaires pour repousser les infections. Il ralentit la réponse inflammatoire visant à défendre l’organisme et brouille la communication entre les cellules immunitaires, ce qui empêche de bien déceler et neutraliser les agents pathogènes. Résultat : un individu stressé est plus vulnérable aux virus, aux infections, et met plus de temps à guérir.
Comment éviter que le stress ne détruise la santé ?
La solution naturelle à l’efficacité prouvée pour venir à bout du stress persistant et calmer son mental : le complément Eclaircy. Véritable best seller, il est formulé avec un extrait hautement concentré de Rhodiola et du Lactium pour agir sur un large spectre de symptômes du stress : manque de motivation, mauvaise humeur, fatigue mentale, troubles du sommeil …
La première étape est de rétablir une forme d’équilibre de vie : se reposer en cas de surcharge, reprendre une activité physique, se reconnecter aux plaisirs simples, entretenir ses liens sociaux. Avant de songer à une prise en charge médicamenteuse avec des traitements qui ne sont pas anodins comme les anxiolytiques par ex, pensez aux compléments alimentaires. Couplés à des thérapies comme la sophrologie, la thérapie comportementale, la prise en charge par la parole, les compléments peuvent être indiqués en 1ère intention pour vous aider à lâcher prise. Le laboratoire Lavilab, spécialiste Français du stress depuis 2016 a développé une gamme de solutions naturelles hauts de gamme et efficaces pour gérer émotions, anxiété et angoisses. Ces compléments sont d’ailleurs formulés par des experts de la santé, de la micro nutrition et recommandés par les thérapeutes. Leur crédo ? Viser l’efficacité des médicaments sans effets secondaires, ni accoutumance.
Maladies provoquées par le stress sur le long terme
Troubles psychologiques et neurologiques
- Anxiété, crises d’angoisse, de panique.
- Dépression.
- Burn-out, épuisement professionnel, surmenage.
- Insomnie et troubles du sommeil.
- Troubles de la concentration et de la mémoire, de la cognition.
Maladies cardiovasculaires
- Hypertension artérielle.
- Troubles du rythme cardiaque.
- Infarctus du myocarde.
- AVC (accident vasculaire cérébral).
Maladies inflammatoires et auto-immunes
- Psoriasis, eczéma.
- Polyarthrite rhumatoïde, lupus.
- Maladies inflammatoires de l’intestin (Crohn, rectocolite hémorragique).
Troubles digestifs
- Ulcères gastriques ou duodénaux.
- Syndrome de l’intestin irritable.
- Reflux gastro-œsophagien.
- Troubles de l’appétit (boulimie, anorexie nerveuse).
Autres affections
- Syndrome de fatigue chronique.
- Douleurs musculaires et maux de dos.
- Migraines et céphalées de tension.
- Troubles hormonaux (perturbations menstruelles, troubles de la fertilité).
- Vieillissement accéléré de la peau et du cerveau.
Différencier les signes du stress, de l’angoisse et de l’anxiété
Distinguer bon stress et stress néfaste
Lorsqu’il est de courte durée, bien géré et modéré, le stress peut être un allié : on parle alors de “bon stress”. Ce dernier libère de l’adrénaline et permet parfois de se dépasser : fuir un danger, se concentrer intensément pour réussir un concours, ou livrer une prestation orale brillante grâce à l’adrénaline. Sur le court terme, il booste les performances. Mais cet effet a ses limites : au-delà d’un certain seuil, il devient envahissant, chronique, et finit par nuire à la santé, par favoriser le développement de maladies. On parle alors de “mauvais stress”, ou pathologique, avec toutes les conséquences que cela implique sur le plan physique et psychique.
Les différentes phases du stress et leurs effets sur le corps, la santé
La phase d’alerte
Face à un facteur de stress, le corps enclenche une réponse immédiate en libérant de l’adrénaline. Cette hormone agit comme un signal d’alarme, mobilisant instantanément les fonctions mentales et physiques pour faire face au danger. Quand il est ponctuel mais intense, les effets ressentis sont eux aussi vifs, et se manifestent à la fois sur le plan physique et psychologique. Sur le plan physique, les premiers symptômes apparaissent dans la zone de fragilité propre à chaque individu, selon ses antécédents ou sa constitution.
Cela peut se traduire par :
- Dans le système cardio-vasculaire : maux de tête, migraines, douleurs thoraciques ;
- Sur le plan digestif : digestion lente, estomac noué, douleurs intestinales ;
- Au niveau musculaire : crampes, tensions, raideurs ;
- Dans le système immunitaire : inflammations, infections à répétition, crises d’asthme ou réactions allergiques.
Côté psychique, les premières manifestations incluent :
- Nervosité, irritabilité, troubles du sommeil, difficulté à rester concentré ;
- Émotions fortes et brèves comme la panique, la rage ou l’angoisse ;
- Réactions impulsives ou comportements agressifs temporaires.
La phase d’adaptation prolongée
Face à un stress installé dans le temps, l’organisme tente de s’adapter en sécrétant du cortisol. Cette hormone permet de tenir sur la durée, en sollicitant les réserves internes d’énergie. Mais cette réponse prolongée entraîne, à terme, une usure progressive des tissus et peut engendrer des douleurs persistantes ou des troubles de santé installés.
Les effets sur le corps peuvent inclure :
- Fragilisation osseuse, douleurs articulaires, troubles métaboliques comme la prise de poids ou le diabète ;
- Infections à répétition (bronchites, cystites, tendinites), inflammations chroniques ;
- Problèmes digestifs récurrents comme les gastrites ou colopathies.
Du côté psychologique, on observe souvent une fatigue constante, un épuisement nerveux et parfois une dépression insidieuse.
La phase d’effondrement
Si le stress continue sans interruption, l’organisme finit par perdre ses capacités d’adaptation. On parle alors d’épuisement total.
À ce stade, des défaillances graves peuvent apparaître : insuffisance cardiaque, baisse de l’immunité, maladies auto-immunes… L’énergie globale s’effondre, et les fonctions vitales s’en trouvent affectées.
Les deux grandes catégories de maladies liées au stress :
Les troubles « à crise »
Ce sont des affections réversibles, qui apparaissent suite à un stress ponctuel mais intense. Elles touchent généralement un organe en particulier, et tendent à disparaître dès que la situation stressante est réglée ou que des stratégies de régulation sont mises en œuvre rapidement.
Les troubles « chroniques évolutifs »
Ces maladies s’installent de manière prolongée. Elles reflètent un déséquilibre profond chez des individus vulnérables ou soumis à des pressions continues. À ce stade, une prise en charge globale, de type thérapie psychosomatique, est souvent nécessaire.
Celle-ci permettra d’identifier les causes invisibles du symptôme, qu’elles soient d’ordre émotionnel, comportemental ou environnemental, et d’activer les ressources nécessaires pour amorcer un changement durable.
Un stress qui gâche la vie : une détresse bien réelle
« Les personnes atteintes de troubles anxieux souffrent souvent d’un manque de compréhension de la part de leur entourage », déplore le Dr Bdeir. Prenons l’exemple d’un trouble obsessionnel compulsif (TOC) : une personne qui ressent le besoin irrépressible de se laver les mains 50 fois après être allée aux toilettes n’est que rarement prise au sérieux par ses collègues. Pourtant, son comportement est loin d’être volontaire.
Les personnes âgées sont particulièrement exposées à cette incompréhension. En effet, « les proches comme les médecins généralistes passent fréquemment à côté des troubles anxieux chez les seniors », précise le psychiatre. Or, la fin de vie peut être source d’angoisse profonde, et nécessite une attention psychologique adaptée.
Pourquoi le stress peut-il pourrir l’existence ?
- Il use le mental
Il sollicite en continu le cerveau. Tu ressasses, tu remets tout en question, tu analyses trop… Résultat : tu perds en clarté d’esprit et tu n’arrives plus à prendre de recul. - Il dérègle le sommeil
Les pensées anxieuses empêchent de s’endormir sereinement ou de profiter d’un sommeil profond. Et sans récupération, tu tombes dans une spirale de fatigue, d’irritabilité et de baisse d’attention. - Il affaiblit le corps
Le stress durable provoque une surproduction de cortisol. Cet excès nuit au système immunitaire, favorise la prise de poids (surtout abdominale), entraîne douleurs, troubles digestifs, et peut favoriser les maladies cardiovasculaires. - Il crée des tensions relationnelles
Sous pression, on devient moins patient, plus sec, parfois agressif ou fuyant. Cela engendre des conflits, des incompréhensions, voire des ruptures avec les proches. - Il fait perdre le goût des choses
Il nous met en mode automatique. On se contente de faire ce qu’il faut, sans savourer. On ne vit plus pleinement, on subit. Les plaisirs disparaissent, et la vie perd de sa saveur.
Comment s’installe-t-il et finit il par nous gâcher la vie ?
- Physiologiquement, le stress déclenche la branche sympathique du système nerveux autonome. Cela prépare le corps à fuir ou se battre : accélération cardiaque, tension musculaire, respiration rapide.
- Émotionnellement, il provoque une sensation d’insécurité, de menace imminente, même quand il n’y a pas de raison objective.
- Mentalement, il brouille la pensée, renforce les idées noires, et réduit la concentration et le jugement.
- Dans le comportement, il pousse à adopter des automatismes nocifs : grignotage, isolement, surconsommation d’écrans, irritabilité, fuite des responsabilités ou comportements addictifs.
Sphère personnelle et stress qui mine l’existence :
• Epuisement après une journée difficile : tu n’as plus d’énergie pour ta famille. Tu t’énerves pour rien, tu t’isoles, tu évites les échanges authentiques. À la longue : tensions, éloignement, conflits.
• Sommeil chaotique : même fatigué(e), ton esprit continue à mouliner. Tu repasses en boucle les événements du jour. Résultat : insomnie, réveil difficile, et une journée qui recommence… encore plus pesante.
• Flemme : préparer un repas, aller marcher, lire un livre ou voir des amis devient un effort. Le stress vide de toute envie. Tu vis sans ressentir.
Stress qui gâche la vie côté professionnel :
• Procrastination : la peur de mal faire ou d’échouer te paralyse. Tu remets à plus tard, tu culpabilises, tu t’en veux… et tu stresses encore plus.
• Erreurs inhabituelles : ton cerveau est saturé, tu oublies des infos, tu te déconcentres. Plus tu perds en efficacité, plus la pression monte.
• Incapacité à refuser : pour éviter les conflits ou par peur du jugement, tu acceptes tout. Tu te surcharges, tu t’épuises. Et tu t’enfonces dans l’épuisement.
Sentimentalement, stress qui gâche la vie :
• Transfert du stress sur le ou la partenaire : au lieu de dialoguer, tu critiques, tu t’agaces ou tu te renfermes. L’autre se sent rejeté, et les tensions s’installent.
• Extinction du désir : quand ton corps est sous tension permanente, le plaisir devient secondaire. Le stress freine la libido en modifiant les hormones sexuelles.
• Fuite des échanges profonds : submergé·e, tu n’es plus dispo émotionnellement. Tu n’as plus la patience d’écouter ou de partager. Et la relation s’appauvrit lentement.