Fourmillements et stress
L’anxiété, le stress peuvent provoquer des fourmillements (mains, pieds, visage). Ces fourmillements s’expliquent par une accumulation de C02 dans le sang vers les extrémités. Ces symptômes se manifestent en réaction à une menace potentielle. La personne ressent alors des picotements, des engourdissements localisés dans les zones innervées, comme le visage, les mains, les doigts ou les jambes. Parfois, une sensation d’échauffement est également reportée. On assiste alors à une absence de sensibilité complète ou partielle. Les personnes avec un terrain anxieux ou sujettes à du stress aigu peuvent même ressentir une resserrement des muscles du cou et des épaules qui vise à restreindre le flux sanguin vers le visage ce qui provoque des sensations désagréables. En cas de stress, de crise d’angoisse, votre visage peut également rougir en raison de la dilatation des capillaires En effet, la réaction au stress conditionne le corps à répliquer de manière urgente. Elle entraine diverses réponses de l’organisme :
- Éloignement du sang des extrémités qui irriguera en priorité les zones corporelles plus importantes pour la survie, comme le cerveau et les muscles.
- Hausse la tension musculaire pour améliorer la résistance aux blessures.
- Renforcement des sens pour faciliter la détection du danger.
- Stimulation du système nerveux pour fournir l’énergie “nécessaire” face au dilemme pour fuite ou combat.
- Emballement de la fréquence cardiaque et respiratoire.
Lavilab le 1er labo Français spécialiste du stress vous livre son expertise sur ce phénomène. D’ailleurs il vous propose des compléments alimentaires anti stress développés auprès d’un comité d’experts comprenant des professionnels de santé. Si vous êtes stressés, anxieux, angoissés, vous trouverez forcément votre bonheur chez Lavilab.
Les causes des fourmillements en lien avec la sphère nerveuse
Déficit en minéraux et risque de fourmillements, de picotements
Une carence en magnésium peut entrainer des picotements. En effet, un apport insuffisant au quotidien conduit à une hyperexcitabilité des fibres musculaires. Ces dernières se contractent induisant des crampes. Dans ce cas, les membranes sont de plus en plus perméables au calcium, au sodium et au potassium. Cette réaction accroit l’excitabilité des cellules nerveuses : les picotements, fourmillements se font alors ressentir. Le magnésium est aide précieuse, il mobilise le calcium osseux pour éviter le phénomène de l’hypocalcémie et prévenir les symptômes tétaniques, les engourdissements. A la jonction nerf-muscle, ce minéral inhibe la production d’acétylcholine. Ce qui favorise ainsi la relaxation des muscles et limite le phénomène de picotements d’origine psychologique.
Les personnes carencées en magnésium reportent souvent des symptômes de contractions musculaires, d’engourdissements, de fourmillements. Le déficit est souvent la conséquence d’un état d’anxiété, de fatigue qui n’est pas traité et qui perdure. L’agitation nerveuse majore les apports en magnésium. Plus vous êtes angoissés, anxieux, plus la déperdition en magnésium est importante au sein de votre organisme. Le cercle vicieux est alors à l’œuvre car plus vous manquez de magnésium, plus vous vous sentez nerveux, irritables et sensibles au stress. La solution de la supplémentation est donc à envisager sérieusement pour limiter ces désagréments et mieux gérer votre état émotionnel.
Les hormones du stress qui peuvent amplifier les engourdissements
En réaction au stress, le système neurologique peut déclencher des engourdissements et des raideurs musculaires. Les hormones du stress interférent avec les nerfs et les muscles. Au cours de pics de stress, l’organisme sécrète 2 hormones : l’adrénaline et du cortisol pour mettre le corps en état d’alerte. Ces dernières peuvent rétracter les vaisseaux sanguins et affaiblir le flux sanguin à destination des extrémités. Enfin en cas de stress chronique, le fonctionnement des glandes surrénales peut être déréglé. Des anomalies peuvent alors pousser ces glandes à libérer l’hormone “aldostérone” de façon excessive se traduisant par une hausse de la tension artérielle. Ces perturbations peuvent alors faire baisser significativement le taux de potassium dans le sang et expliquer la faiblesse, les picotements, les spasmes.
Fourmillements : possibles effets secondaires des anxiolytiques
L’engourdissement des extrémités peut être un des effets secondaire d’un traitement médicamenteux que vous suivez : anxiolytiques, antidépresseurs, régulateurs de l’humeur. Au moindre doute, n’hésitez pas à en référer à votre médecin. Sachez également que ces symptômes peuvent donc survenir lors d’un sevrage d’anxiolytiques à courte durée d’action. Si vous arrêtez brutalement votre traitement, des symptômes comme des fourmillement peuvent apparaitre dans les 24 à 48 h.
L’hyperventilation : cause de fourmillements
L’hyperventilation aggrave les crise de panique. La sensation de perte de contrôle est plus forte chez les personnes qui ne sont pas conscientes de leurs habitudes respiratoires. Elle est symptomatique des crises de spasmophilie.
Solutions pour lutter contre le stress à l’origine des “fourmillements”
Une prise en charge médicale et des exercices de relaxation
Quand ces fourmillements sont d’origine psychologique, il est conseillé de se rapprocher d’un médecin, d’un psychologue. A l’issue de cette consultation, il pourra donc vous délivrer des médicaments afin de traiter votre stress et vous aider à faire face aux situations anxiogènes. Les prescriptions peuvent inclure des benzodiazépines, des anxiolytiques. Le professionnel de santé peut également envisager une prise en charge psychothérapeutique comme la TCC pour traiter les troubles anxieux, les crises de panique.
Cette thérapie consiste à repérer et à restructurer les modèles de pensée destructeurs ayant une incidence délétère sur le comportement et les émotions. Elle permet au patient de réajuster ses pensées, et de s’éloigner des croyances limitantes. L’approche cognitive de la méthode cible les erreurs de traitement et de perception de l’information. On peut alors parler d’apprentissage pour se défaire de schémas toxiques qui sont sources d’anxiété.
A noter que les traitements doivent s’accompagner d’une bonne hygiène de vie, de changements d’habitude dans le quotidien. Une alimentation saine, l’instauration d’une routine de sommeil, la pratique de la respiration abdominale, des disciplines comme la méditation ou le yoga viennent parfaire une prise en charge ou l’administration de médicaments.
Prendre le problème à la racine et traiter son stress avec des compléments alimentaires relaxants
Si vous ne souhaitez pas passer par la cause médicaments, vous pouvez vous orienter vers les compléments alimentaires. Ils cibleront votre stress et ses symptômes sous jacents. Qu’il soit chronique ou aigu, les compléments alimentaires vous apporteront réconfort et sérénité et dissiperont ses manifestations. Nous vous présentons les compléments alimentaires anti stress du laboratoire Lavilab : le numéro 1 français du bien être travaillant avec un comité d’experts regroupant des professionnels de santé et des spécialistes de la micronutrion.
Si vous êtes en proie à des crises d’angoisse, de panique, à des montées d’adrénaline, portez votre choix sur le complément No Stress Flash. L’efficacité de cette solution sans effets secondaires et accoutumance a été prouvée via une étude clinique sur produit fini. En faisant chuter le cortisol, ce complément vous aide à rester zen et rester maitre de la situation tout en diminuant l’intensité et la fréquence des manifestations physiques liées à votre état émotionnel. Si votre agitation nerveuse est constante.
Travailler sa respiration pour atténuer les picotements
En cas de pics d’angoisse, le symptôme d’hyperventilation est fréquent. Prenez une lente pendant 5 secondes, expirez pendant 7 secondes, essayez de respirer avec le ventre en pratiquant la respiration abdominale. Quand vous hyperventilez, une trop grande quantité de dioxyde de carbone est expulsée du corps. Cette respiration soutenue est contre-productive, car le trop plein d’oxygène accroit l’hyperventilation et augmente le risque picotements.
Bouger, pratiquer une activité
Serrez vos poings quand vos mains commenceront à picotent ou marchez quitte à faire les cents pas dans votre maison quand vos jambes sont engourdies afin de rétablir une bonne circulation sanguine. Un petit footing, quelques foulées peuvent vous aider à retrouver des sensations. En effet, une activité physique même peu intense facilite la libération de dioxyde de carbone. Elle régule certaines hormones du stress, tout en apaisant les tensions et les crispations ressenties lors d’un épisode stressant.